Partir… pour un nouveau départ !
Un des piliers du journal, Maryline Beaunée, vient de prendre sa retraite au 1er février. Une retraite méritée comme on aime le dire dans les pots de départ, mais pour Maryline cette retraite est hautement méritée pour ces 26 ans au sein de la rédaction.
Chaque chef d’entreprise ou chef de service ou même collègue de travail a pu connaître cette impression lors d’un départ en retraite. Un pan entier de l’historique de l’entreprise se trouve, amputé d’un seul coup même si le départ s’anticipe. La connaissance de tous les rouages de l’entreprise se retrouve alors orpheline. On n’en prend conscience qu’au pied du mur, l’échéance du départ en retraite est toujours lointaine, pris dans l’engrenage de l’urgence quotidienne des dossiers à traiter. Et puis un matin, la salariée « indispensable », la pièce maîtresse de l’entreprise n’est plus là le matin lorsque nous arrivons tous au travail. En effet, souvent, Maryline était la première à ouvrir la porte des bureaux et la dernière à la fermer.
Maryline ne comptait pas ses heures pendant toutes ces années aux différents postes qu’elle avait endossés au fur et à mesure du temps. Rentrée comme la première salariée au Petit Vendômois en 1997 pour un poste de secrétaire, du temps où l’informatique n’était pas encore en place dans l’entreprise, Maryline connaissait par cœur, par ses années d’expériences, le fonctionnement du journal en lien tous les jours avec les associations Vendômoises, les annonceurs et même les lecteurs. Disponible, rapide et efficace, elle avait, entre autres, cette dextérité dans la création artistique et l’élaboration de la maquette du journal que ses collègues enviaient…
Même si nul n’est indispensable comme le dit le proverbe, Maryline a été pendant toutes ces années, essentielle à la création, chaque mois, du Petit Vendômois. Elle peut dorénavant profiter, à plein temps, de ses petits-enfants et voyager avec son mari, l’une de ses passions.
Bonne retraite Maryline et à très vite !