La saison culturelle de l’Hectare-Territoires vendômois
Mons la girafe, marionnette, Mardi 7 octobre à 19h au théâtre du Minotaure à Vendôme. A partir de 10 ans. Tarifs de 15 à 20€
C’est l’histoire d’une girafe qui résidait au zoo de Kharkiv pendant la Seconde Guerre mondiale. Vue à travers les yeux d’un enfant et transposée de manière fabuleuse et allégorique, elle explore les méandres de la guerre, avec ses peurs et ses solitudes insondables.
Derrière Vaval, pleurs, cornes et fwèt, danse par Thomas Lebrun, directeur du Centre chorégraphique national de Tours. Vendredi 10 octobre à 20h30 au théâtre du Minotaure à Vendôme. A partir de 14 ans. Tarifs de 15 à 20€
Depuis presque dix ans, Thomas Lebrun, tisse des liens forts avec des artistes d’outre-mer. Aujourd’hui, il créé trois pièces chorégraphiques, pour et avec une danseuse guyanaise, un danseur martiniquais, un danseur guadeloupéen et une auteure guyanaise. Chaque interprète, ancré dans sa terre natale, y incarne un personnage de carnaval, existant ou imaginé.
Gadoue, cirque, par la Cie Le Jardin des délices . Samedi 18 octobre. à 16h, mardi 21 à 19h et mercredi 22 à 16h, à la Halle aux Grains à Blois. A partir de 5 ans. durée 30 mn. Tarifs de 7 à 10€.
Au centre d’une piste de boue blanche, un jongleur en complet veston va cumuler les difficultés : ne pas se salir, ne pas glisser, ne pas faire tomber sa balle. Il performe avec des figures de plus en plus complexes, tout en jonglant, en jouant l’équilibriste et en usant de clowneries. Mais, ça colle, ça glisse, ça tache et ça dérape… La chute est inévitable !
Conseils aux spectateurs, théâtre, par la Cie La Martingale. Jeudi 6 nov. à 20h30 au théâtre du Minotaure à Vendôme. Dès 14 ans. durée 1h15. Tarifs de 15 à 20€.
Jérôme Rouger maîtrise parfaitement l’art de l’éloquence et ne manquera pas de vous faire rire dans sa nouvelle conférence-spectacle, délicieusement loufoque. en tant que «chercheur en science de la représentation», il va vous observer… Car une représentation au Théâtre n’est jamais identique, et le public y a une influence dont souvent, il n’a pas conscience.