Installé à Lunay depuis 2015, Jacques Ponsart est un homme qui a exercé une multitude de métiers, un parcours professionnel hors du commun. Grand lecteur, passionné des mots, c’est vers l’écriture qu’il s’est tourné depuis sa retraite. Après un premier ouvrage plutôt autobiographique « Une certitude d’août », il édite son premier roman « La télécommande » paru en juillet.
Une question essentielle en dernière de couverture donne le ton : Et si demain, vous aussi, aviez cette télécommande obéissant à pratiquement tous vos ordres ? Par quoi commenceriez-vous ? « Ce roman, c’est 20 ans de travail. L’idée, c’était de maîtriser un scénario de film. J’ai donc pris le bas de l’escalier et puis, marche après marche, j’ai gravi les échelons » s’amuse Jacques Ponsart. Un roman initiatique comme il le souligne, ouvrir des pistes et maintenir l’attention du lecteur pour surprendre à la fin en étant suffisamment originale, en évitant les lieux communs aussi comme ces histoires d’enquêtes policières que l’on connaît tous.
« Tous les faits dans ce roman sont authentiques, une succession d’anecdotes, une fiction dans la réalité » précise l’auteur. Un roman avec le parcours d’un héros qui emprunte les travaux de Christopher Vogler, scénariste d’Hollywood et qui emprunte également les 4 accords Toltèques, la parole, la représentation, la pensée et l’action.
« J’ai bien un 2e roman quasiment construit avec le thème, l’idée et la construction. Je dois décider si je me lance ou pas, je sais que c’est 5 ans de travail et, à 70 ans, je suis dans les années où l’on calcule le champ des possibles » conclut Jacques Ponsart. Et est-ce que le lecteur a son mot à dire finalement ?
