Grande soirée de L’éléphant Blanc – samedi 10 octobre à La Chapelle Vendômoise
«L’éléphant blanc», association franco-australienne pour l’aide aux enfants du Laos, ou AFAEL L’éléphant blanc (www.afael.org), a réussi la première de ses deux actions de ce dernier semestre 2015, à savoir l’animation sur une grande partie de la rue Saint-Lubin à Blois. Ben du Ben’blues bar, avec les responsables de l’association précitée, avait monté une série d’animations, où la musique, sous toutes ses formes, et les images étaient reines.
Autour de plusieurs stands, dont celui des objets du Laos, de vieux vinyles, des sérigraphies, des affiches, et des réalisations en tissus ou laine, chacun(e) a pu profiter du beau temps pour baguenauder au fil des bars, restaurants, et boutiques restées ouvertes pour l’occasion.
Bien que ce ne soit pas un breuvage typiquement asiatique, la sangria géante, à prix libre reversé à l’association, apporta son ambiance colorée à cette mini fête qui se prolongea fort tard après le coucher du soleil pour pouvoir profiter de la projection de scènes de vie du Laos, en plein air, sur un drap cloué sur la façade d’une maison…Tout simplement avec les moyens du bord et un peu de débrouille.
Dans le cadre de ses prochains rendez-vous, l’AFAEL L’éléphant Blanc annonce une soirée de bienfaisance, avec la participation du Ballet royal du Laos et d’un groupe musical de Rennes, au profit des enfants du Laos, samedi 10 octobre, dès 19 heures, avec entrée libre à la salle des fêtes et des loisirs de La Chapelle Vendômoise. Il sera possible de se restaurer sur place (18 €/pers, hors boissons). Il est toujours possible de s’inscrire, en fonction des places encore disponibles, au 07 71 14 13 96.
Suivront le samedi 30 janvier, à 18 heures, l’assemblée générale de l’AFAEL, au même endroit, et dimanche 28 février, dès 13h30, un loto et une tombola au gymnase de La Chapelle Vendômoise.
Un peu d’histoire…
Créée en 2002 par Jean Cavalerie et Kham Saysavanongphet, amis d’enfance originaires du Laos, l’AFAEL L’éléphant blanc a, notamment, permis et accompagné la construction, au Laos, de quatre écoles (2 maternelles et 2 primaires) ; un collège et, depuis l’an dernier, un village des enfants ou lycée professionnel pédagogique à Phonxay, auto-formateur et auto-gestionné, via la création d’un jardin pour subvenir aux besoins mêmes des élèves et d’ateliers destinés à former des apprentis dans les métiers manuels où il y a beaucoup de besoins. Près de 3.000 jeunes peuvent, ainsi, suivre des cours et être scolarisés dans le temps. Petit à petit, le pays pourra, aussi, se reconstruire, et redémarrer, en paix, une partie de son histoire ancestrale placée sous le signe d’un avenir que tout le monde, ici, souhaite le plus serein possible…
Richard Mulsans