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Le Petit Vendômois explose sur Facebook

A l’heure où la «grande presse» nationale ou régionale, tergiverse encore sur le virage vers le numérique, Le Petit Vendômois cartonne sur les réseaux sociaux. Décryptage.

Parlons chiffres, puisque c’est le nerf de la guerre. Sur Facebook, pas moins de 3303 vues en une semaine pour la page du Petit Vendômois, 1400 pour la publication portant sur le stade des Maillettes, 319 pour la Foire à la bouture de Couture, 312 pour les Journées du champignon à Naveil, des résultats calculés sur une période de 7 jours seulement. Et ce, sans promotion particulière ou investissement publicitaire offrant une visibilité supplémentaire. Et tout en ayant subi quelques désagréments, en lien avec une migration de la page Facebook originelle vers celle d’aujourd’hui. Une opération technique qui a fait disparaître 1500 abonnés, une perte considérable, qu’il faut désormais reconquérir. Et c’est plutôt en bonne voie, car depuis la migration, c’est quelque 500 abonnés qui ont rejoint Le Petit Vendômois sur Facebook.

En synergie avec le journal papier, le site et les réseaux sociaux offrent ce que la périodicité mensuelle ne permet pas. L’immédiateté, la réactivité, l’instantané et l’interactivité avec un lectorat qui souhaite partager, commenter les événements, les photos, les vidéos en direct. Plus que des lecteurs, c’est désormais une communauté qui se crée. Mis en place par Frédéric Renoux et orchestré par Blandine Binet, le site internet, encore en devenir, mais avec plusieurs centaines de visiteurs par jour, livre au quotidien les rubriques essentielles qui font la force du magazine : l’agenda, l’actualité, l’économie, la culture, le sport… et les vidéos, portées par la Web-TV.

Page-FB

Un sentiment d’appartenance

Alors, comment expliquer l’engouement rencontré par la déclinaison du magazine papier sur les réseaux numériques ? Peut-être justement par ce qui manque à la presse « classique » : la proximité, le sentiment d’appartenance, le partage de l’information. Mais l’envie ne fait pas tout, le contenu prime et oblige à être présent sur le terrain, à courir les événements, c’est le remarquable travail de Laurent Jegouzo, community manager et gestionnaire de contenus, en charge depuis juillet d’alimenter les pages Facebook et le réseau Twitter pour Le Petit Vendômois.

«Près de 20 personnes par semaine s’abonnent sur le réseau social, ma mission est d’impliquer les gens, de parler et de faire parler des Vendômois», explique Laurent Jegouzo.

Point d’autocongratulation ici, mais juste partager, encore et toujours, de bonnes nouvelles pour la visibilité et la promotion de notre territoire, ses initiatives et ses projets, ses événements phares portés par des femmes et des hommes emplis d’énergie et de bonne volonté. A l’heure où les tirages de la presse traditionnelle s’effondrent, votre magazine continue son développement, conservant sa locomotive, le journal papier, et proposant d’autres modes de lecture par le biais des réseaux sociaux et de l’internet. Et tout ça gratuitement. Un grand merci donc pour votre fidélité et votre participation à ce nouvel essor, et à très vite en ligne.

Pour s’abonner à notre page Facebook, CLIQUER ICI…

Jean-Michel Véry

Journaliste à Politis, à Europe 1, au Petit Vendomois, rédacteur "tourisme" à Néoplanète, pigiste au Figaro et à l'Optimun.

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Un commentaire

  1. Bien l’interview sur “Plus Fm” . Merci Alexandre Fleury pour cet investissement local mais aussi départemental .

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