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«Noël en Val de Loire, à deux heures de Paris»

Une grande campagne publicitaire vante les richesses touristiques régionales en période creuse…

 

Une phrase de François Bonneau, président de la région Centre Val de Loire, résume, à elle seule, l’opération publicitaire lancée, en relation avec le Département de Loir et Cher ainsi que le Comité, dans divers médias et sur plusieurs supports, dans la Capitale, pour un Noël de rêve à moins de deux heures de Paris…

 

«Nous souhaitons que l’on pense, dorénavant, au Val de Loire comme destination de loisirs, au même titre que La Normandie ou La Bretagne».

 

Lancée l’an dernier, l’opération «À deux heures de Paris, Noël en Val de Loire» est reconduite, jusqu’au 4 décembre, via les arrières de 1.500 bus, 8 des stations de métro les plus importantes, et 88 mâts-porte-drapeaux dans les quartiers les plus fréquentés de la Capitale.

 

Les châteaux de Blois, Chambord, Cheverny, Chaumont-sur-Loire et son domaine, et Le Clos Lucé d’Amboise, plus le Zooparc de Beauval-Saint-Aignan-sur-Cher participeront à cette campagne promotionnelle de proximité et lanceront des animations et des décorations gigantesques, en fonction de la topographie et de l’offre architecturale des lieux. Le but, entre autres, est de fidéliser la clientèle des quelque 5 millions de touristes venus en région Centre-Val de Loire, chaque année, et d’en trouver de nouveaux, réunis sous le vocable de visitorat!

 

Une campagne Facebook, soutenue par le Département de Loir et Cher, plus un site (noelenvaldeloire.com) appuieront les publicités nationales et des jeux sur les divers sites permettra de gagner des entrées sur les sites participants et des séjours en Val de Loire. Car, il faut reconnaître que si les 6 invitants constitueront la force de frappe la plus importante, il n’est pas impossible qu’une fois captés ou «capturés», les touristes séduits par la campagne de promotion ne veuillent pas aller découvrir, ailleurs, les richesses et pépites offertes par cette Loire Valley que nous envient les Américains. Et ils ne se «Trump-ent» pas toujours dans leurs analyses, reconnaissons-le !

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