Vive le cépage Pineau d’Aunis
Les Coteaux-du-Vendômois, une valeur sûre ! Terroir vendômois : « On t’aime » !
On l’a vu, on l’a testé et on l’approuve. En 2018, Vendôme, Pineau d’Aunis, c’est une marque, un art de vivre, un savoir-faire territorial.
Quelle bonne idée, il fallait le mettre en avant, lui donner ses lettres de noblesse, lui créer une signature, un peu de culture dans les deux sens du mot.
Rabelais, Ronsard ne s’étaient pas trompés. Nos grands écrivains aimaient passer du bon temps et appréciaient les bien jolies cuvées issues des terroirs du Val-de-Loire à en croire l’épitaphe de Rabelais par Ronsard : «Jamais le soleil ne l’a vu/Tant fût-il matin qu’il n’eût bu/Et jamais au soir la nuit noire tant fût tard, ne l’a vu sans boire…»
Le Pineau d’Aunis un des plus anciens cépages de France. Très réputé au XIe siècle, il était servi sur les tables royales au Moyen Âge. Il revient au galop et reprend du galon. Il fait partie de l’ADN du terroir vendômois.
Palmarès des cuvées sélectionnées, étiquetées avec leur ravissante collerette «Vendôme, Pineau d’Aunis».
Pour les vins rouges : 6 palmes
Cuvée Grillé d’Aunis 2015 et 2016 pour la Cave coopérative du Vendômois.
Cuvée Benjamin 2016 Domaine du Four à Chaux.
Intuition 2014 et Emilien Colin 2016 pour Domaine Patrice Colin et Domaine de la cave aux Caux.
Quant aux vins gris : 4 palmes
2016 Cave Coopérative du Vendômois.
2016 Domaine de la Fontaine.
2016 Domaine Patrice Colin et gris Bodin Patrice Colin.
Ce qu’il ont tous en commun : un festival d’arômes épicées, poivre, piment doux, cannelle, cardamone, nez de fruits rouges allant jusqu’à la pâte de coing ou la réglisse… pour le Pineau d’Aunis en rouge.
Le caramel, les poivres, le cassis et le pain d’épice, quelques piments doux, et parfois un peu de rose pour le vin gris.
Un réel voyage, petit clin d’œil aux saveurs appartenant à la gastronomie de la Renaissance en Val de Loire.
Où trouver ces petits trésors qui deviendront grands d’ici très peu de temps ?
Pour en savoir plus :
www.bienplusquuneplace.com
Photos : Marc Broussard